Connais-toi toi-même. OïD !

Puisque la biomesure s’intéresse à vous, n’hésitez pas à lui rendre la pareille ! 

Dans notre vie de tous les jours, il existe peu d’activités, d’informations ou d’actions qui ne soient pas concernées par le lien établi, généralement d’assez près, entre le biologique et le reste ! Mais, nous ne savons pas toujours où cela se passe, comment cela se passe et ce qui en adviendra. Le sujet est vaste, presque vertigineux, il est à nos yeux, le fondateur d'une profonde évolution de la civilisation.
Nous passons insensiblement du tout mécanique à un monde de plus en plus intéressé par le biologique. Au niveau de notre environnement bien sûr, mais aussi dans nos approches logiques. Les raisonnements par « masses humaines » évoluent vers un intérêt croissant pour l'individu. Cela se voit au niveau de la personnalisation des services, des soins, des équipements.La finesse d'analyse est, on ne peut en douter, la clef de l'évolution : pour notre santé, notre alimentation et notre vie de tous les jours.

Or, comment affiner sans savoir ? Proposer sans connaître ? Adapter sans étudier ? La biomesure répond, à sa façon, à l'axiome de base de la philosophie de Socrate : connais-toi, toi-même ! A laquelle nous nous permettons d'ajouter qu'à l'époque du big-data, du haut débit, des block chains et des objets connectés, notre point de vue interjectionnel résumant toute l'affaire : OïDs ! 

Les bouchons obstruent aussi les bronches.

Le 10/08/2022

Bison Futé a beau nous prévenir, nous supplier parfois d’attendre et de nous organiser, quand les heures des grandes transhumances se profilent, nous nous faisons un malin (au sens mauvais) plaisir (tu parles !) de nous assembler en cohortes serrées sur les jolies autoroutes des vacances.
Le sens joyeux, des départs étant aussi celui des retours, dans l’autre sens moins joyeux, tout concourt à ce que la saturation s’impose. 

Au-delà de la patience et de la quiétude, les bouchons sont-ils destructifs pour autre chose ? 
Autrement formulé, pour faire le rapport direct avec la mesure de la qualité de l’air : combien de nouvelles maladies respiratoires se déclenchent-elles quand nous honorons la vieille tradition des encombrements estivaux ?

Après le masque ? Le masque d’après !

Le 08/07/2021

Avec le fort recul des contaminations, le triomphe de la vaccination et la quasi-éradication de la pandémie de la Covid-19, l'abandon des masques barrières était un fait acquis, libératoire et symbolique du retour à la vie normale.
Malheureusement, les faits sont souvent contradictoires, parfois paresseux, en tout cas, décevants.
Donc, non, nous allons continuer à avoir besoin de protéger notre respiration, non seulement contre les menaces connues mais aussi contre celles que nous ne pouvons soupçonner. Et l'on sait maintenant que la prudence nous incite à abandonner les termes tels que "toujours, jamais, définitif, impossible, etc." dès qu'il s'agit de parler de ce qui provoque les détresses respiratoires.

Janvier 20, qu’annoncent les années gémellaires ?

Le 25/05/2021

2020 est constituée de deux séquences jumelles, un phénomène qui n’arrive que tous les 101 ans, ce qui est mathématiquement compréhensible : chaque nouvel an ajoute une unité au compteur utilisé et accepté, lequel n’a aucun rapport concret avec une quelconque réalité pratique.
Il est peu probable que le big bang ait eu lieu précisément un 1er janvier, à minuit qui plus est, ni même, plus modestement et proche de nous, que notre étoile se soit mise à scintiller de tout son plasma pile quelques milliards d’années plus tard.

Dans Santé

La culture du souffle.

Le 08/07/2020

Que l’on soit un dragon ou une musaraigne poursuivie par un chat, le souffle est un critère important tant de manifestation de puissance que de capacité à la survie. Quand Merlin, le Barde Breton, convoque, au profit de ses protégés, la puissance tellurique, il épand la brume magique émanant autant de son être que de celui de son avatar, que l'on soupçonne d’être grand, avec des écailles scintillantes et une haleine brûlante.

Delirium très masque

Le 25/05/2020

Bonne nouvelle, nous avons enfin un quatrième objet de protection, symbole immédiat pour exposer haut et fort nos affres, incertitudes et peurs. Encore mieux, nos opinions.
Mauvaise nouvelle, c'est encore un​​ truc en plastique qui va finir par s'accumuler là où l'on n'en veut pas, qui sera difficile à collecter et encore plus à recycler, doté d'une telle durée de vie avant retour à la nature que notre espèce risque fort d'être éteinte avant que le ramassage n'ait lieu.​​

Covi-talité !

Le 25/05/2020

L’immobilité, quelle redoutable expérience ! Elle nous en apprend tellement sur nous, notre comportement collectif, notre impact sur notre environnement, nos semblables, notre habitat proche et lointain, nos habitudes et leurs conséquences, des plus globales aux plus infimes. L’état de clôture universelle a érigé la lenteur et l’absence en normalités, nous renvoyant pour ce qui concerne notre mobilité et nos échanges au moins un demi-siècle en arrière ! Avec la formidable chance d’avoir les bons outils de mesure.

Dans Santé

Avançons ouvertement masqués !

Le 27/04/2020

Foin de polémiques, concentrons-nous sur la réalité : les masques de protection, qu’ils soient les si utiles chirurgicaux ou les rassurants FFP2 sont des reliques du passé. Leur conception date des âges anciens, ils sont les descendants directs des nez d’oiseaux du moyen âge. Hormis l’adaptation de matériaux nouveaux, ce qui les a rendus plus efficaces d’un point de vue médical, essentiel, ils n’ont connu aucune véritable évolution depuis des siècles. Cela ne pouvait nous laisser indifférents. Nous proposons donc un nouveau projet cadre : Masque de Biomesure, une évolution du bout de tissu à l'objet personnel de protection et de mesures.

Cop, Etats en « mort cérébrale » ?

Le 09/02/2020

Le terme de « mort cérébrale » est devenu un sommet de la mode universelle de l’invective dénigrante depuis quelques mois. C'est assez triste, cet assemblage de mots décrit l'état d'une personne en souffrance, dont on devrait s'alarmer, quoiqu'il conserve une faible dose de mystère, car la science se veut précautionneuse, autant pour le définir que pour le dire définitif. Cette fois, l'expression est-elle plaquée sur l'amorphisme d'une personnalité politique, d'une organisation internationale ? Est-ce une figure artistique qui se verrait si délicatement qualifiée pour son absence de réaction, ou d’intelligence, par les médias férues d’expressions toutes faites ?